Comité international de travail sur la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones
Premier atelier de travail, École des Hautes Études en Sciences sociales, Paris, 21-29 janvier

Participant.e.s:
En arrière: Ioana Radu (UQAT), Sébastien Brodeur-Girard (UQAT), Suzy Basile (UQAT), Tanya Sirois (RCAAQ), Jennifer Hays (UTromso), Leslie Cloud (JUSTIP), Edgar Blanchet (Bureau du Ndakina), Emmanuelle Piedboeuf (Réseau DIALOG), Bastien Sepúlveda (UMR SENS), Édith Cloutier (CAAVD), Stéphane Laroche (CAAVD)
En avant: Manon Vanbesien (EHESS), Yasmine Fontaine (ULaval), Carole Lévesque (INRS), Irène Bellier (EHESS), Denis Vollant (ITUM), Caroline Desbiens (ULaval), Alexandre Dumais-Dubé (ULaval – manquant sur la photo).



Les constats :
- les pressions s’accentuent de la part des leaders autochtones pour que les dispositions de la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones soient intégrées dans les politiques, plans d’action et stratégies des instances gouvernementales, autochtones et non autochtones;
- les récentes commissions d’enquête – Commission de vérité et réconciliation du Canada; Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues ou assassinées; Commission d’enquête du gouvernement québécois sur les relations entre les Autochtones et certains services publics – ont engendré des attentes importantes en identifiant des centaines d’appels à l’action et à la justice auxquels ces organisations souhaitent répondre.
Le mandat du Comité :
- contribuer à un meilleur positionnement des organisations autochtones partenaires de DIALOG face aux nouveaux instruments de gouvernance nationaux et internationaux qui font une place aux savoirs autochtones;
- concevoir de nouveaux outils de connaissance collectifs, incluant des modules de formation et de nouvelles banques de données afin d’assurer l’appropriation et la pérennisation des apprentissages et des enseignements issus des travaux réalisés;